Violence basée sur le genre : qui est votre Mariam ?
Un dimanche soir vers 17 h, le dîner étant déjà prêt, elle est toujours en cuisine. Mariam prépare des mets légers et du Kenkéliba pour la rupture.
Souvent, il suffit juste de tourner les yeux et de regarder autour de soi. Ecouter les uns et les autres. Tu te rends compte que nous sommes tombés très bas. Si de 2012 à nos jours, des villages ont été détruits, d’autres carrément effacés de la carte, le Mali a perdu plusieurs de ses enfants. Un supplice populaire qui ne semble pas être sur le point de s’arrêter.
C’est l’une des routes les plus poussiéreuses, impraticables de Bamako. Pourtant, il y a plusieurs raisons pour lesquelles la voie reliant Sabalibougou-Kourani (quartier périphérique) à la ville de Bamako, doit être aménagée et bitumée. Nous avons essayé d’en énumérer quelques-unes. Si vous pensez en avoir d’autres, n’hésitez surtout pas. 1- Le canal d’irrigation de l’office du périmètre irrigué de Baguineda (OPIB) Tout d’abord, parlons de ce grand canal de drainage…
Alors que la campagne mondiale est lancée hier 25 novembre pour une durée de 16 jours comme son nom l’indique, nous attirons l’attention sur certaines victimes particulières (les couches vulnérables). Le voici notre modeste part de contribution, sur le thème « Tous unis » pour mettre fin aux violences faites aux femmes, « orangez le monde : financez, intervenez, prévenez et collectez. » Nous regrettons la hausse des violences faites aux femmes ces derniers…
Au-delà de Dougouracoro, cette initiative salutaire doivent être prises partout dans le pays, à travers chaque famille, quartier, commune, arrondissement et cercle. Ainsi, ensemble, nous créerons un environnement sain pour servir le Mali.